Réponses aux questions fréquemment posées

Pourquoi consulter un psychanalyste ?

Les patients qui viennent consulter ont tous un point commun : ils éprouvent un mal être constant dans leur vie quotidienne, qu’il s’agisse du domaine personnel professionnel ou familial.

Faisons un premier diagnostic :

Vous ressentez stress, angoisse, et vous vous considérez comme dépressif et parfois victime d’un engrenage que vous ne maitrisez plus, sans pouvoir en expliquer clairement les raisons ?

Vous n’avancez plus dans votre vie, et avez le sentiment de ne rencontrer que des obstacles ?

Les échecs se répètent comme s’il s’agissait d’un déterminisme.

Vous perdez confiance en vous, vous n’avez plus d’énergie ? Vous accumulez idées noires, obsessions, phobies ?

Votre sommeil est devenu agité et n’est plus réparateur ?

Vous avez consulté de nombreux médecins mais vous avez l’assurance que votre santé physique n’est pas atteinte ?

Il convient donc de rechercher la cause de vos difficultés ailleurs et la psychanalyse est la meilleure porte d’introspection et de réflexion pour parvenir à un mieux être.

Comment se déroule la première consultation ?

S’il n’est jamais facile de prendre contact avec un psychanalyste, la première consultation est pourtant très importante.

Cette première consultation permet d’établir le lien de confiance qui doit naître de façon spontanée entre le patient et le psychanalyste.

Elle donne la possibilité au patient d’expliquer, et souvent pour la première fois, les raisons factuelles de sa visite, les souffrances éprouvées et les améliorations recherchées.

Cette consultation est aussi l’occasion pour l’analyste d’évaluer la prise en charge qu’il va apporter.

Enfin, il faut s’accorder sur la nature de la thérapie à engager (cadre thérapeutique) et le rythme des séances.

Quel est le coût et la durée des séances ?

Personnellement, j’ai adopté le tarif de 60 € la séance, tarif moyen pratiqué par la profession.

Le paiement en espèces est vivement recommandé pour des raisons d’efficacité analytique, car il faut garder la symbolique des billets de banque et de l’effort personnel et intime fourni par le patient pour aller mieux.

Toutefois, il est évident que, dans notre société moderne, tous les autres moyens de paiement sont acceptés.

Chaque séance dure environ trois quarts d’heure.

C’est encore ici une durée moyenne. Il faut savoir que le patient travaille toujours inconsciemment entre deux séances et le sentiment de frustration qu’il peut ressentir à la fin d’une séance permet justement de se projeter sur la suivante.

Le rythme des séances est à évaluer en commun avec l’analyste en fonction de la souffrance du patient et du besoin ressenti.